L’identité n’est pas l’immobilité. C’est la persistance dans le changement. La vie est ce mouvement même, ce « jaillissement perpétuel », « cette création d’imprévisible nouveauté »[1]. Voilà ce que le monde est, voilà ce que nous sommes.
[1] BERGSON (Henri), « Le possible et le réel » in La Pensée et le mouvant