Aujourd’hui, Serge Crampon installe ses travaux sous la forme de vastes scénographies dans lesquelles le corps revient au centre de ses préocupations. Ses installations mettent en scène des forces opposées telles le pérenne et l’éphémère, le vivant et le mort et donnent à voir une interprétation du rapport entre nature et culture. À l’énergie vitale du fleuve qui soutend ses premières installations succède la force du dialogue entre objets
récupérés, recyclés, transfigurés et leur histoire.