La création de la compagnie NGC25 en 1998 par Hervé Maigret est la concrétisation d’un élan qui ne l’a jamais quitté depuis son enfance : imaginer, inventer et créer des univers, des histoires, où l’homme, et son rapport au monde et aux autres, restera toujours central. Sa danse porte en elle l’émanation brute de l’expression humaine face aux émotions, elle incarne l’universalité des rapports humains dans leurs particularités quotidiennes. C’est cette recherche fondamentale, qui prend vie dans un mouvement où le corps devient le symbole de cette universalité, qui le conduira à pouvoir travailler avec plusieurs cultures sur différents continents. Hervé Maigret a chorégraphié 35 créations dont 24 pour NGC25, une commande pour le Ballet du Rhin, trois commandes pour la Cie Nationale de danse d’Équateur, cinq créations pour le collectif franco-équatorien Parale0°, une création franco-colombienne et une création franco-palestinienne. En 2014, il fonde le collectif franco-équatorien Paralel0°, à Quito, et collabore régulièrement avec la Compagnie Nationale d’Équateur (El Carnaval de los Animales) et l’Alliance Française de Quito. Il chorégraphie 35 créations dont 24 pour NGC25 (Le bal à Boby, Roméo & Juliette, La danse du présent, GK3) et 5 créations pour Parale0°.

Née en 1983, Julie Cloarec-Michaud se forme dès 1989 à la danse dans la région nantaise. De 1998 à 2003, elle intègre plusieurs groupes chorégraphiques et fréquente par ailleurs les tutorats et cours de plusieurs chorégraphes nantais, parmi lesquels Hervé Maigret, Matthias Groos, Rosine Nadjar, Yvann Alexandre ou encore Katleen Reynold. A partir de 2007, et durant 3 ans, elle poursuit une formation auprès de Wayne Byars au Studio Harmonic à Paris. C’est en 2014 qu’elle recroise le chemin d’Hervé Maigret et intègre la Cie NGC 25 avec laquelle elle travaille depuis lors. 

Parallèlement à sa formation de danseuse et de comédienne (qu’elle a suivi aux Cours Florent) Julie a poursuivi ses études scolaires en philosophie. Après avoir été invitée en 2012 à la San Francisco State University, elle soutient sa thèse à la Sorbonne, sous la direction de Michel de Bitbol, et devient docteur en philosophie. 

Depuis, Julie poursuit ses activités dans ces différents domaines en continuant ses travaux de recherche et d’écriture en philosophie, en donnant régulièrement des conférences et des cours en écoles supérieures et à l’Université Permanentes de Nantes, tout en s’investissant pleinement dans sa carrière artistique. 

 

Elle commence la danse à 12 ans, intègre le CNDE ainsi que le Ballet National d’Equateur. C’est au Chili qu’elle découvre la danse contemporaine et devient professeur de danse au Front de Danse Indépendante en 2003. Elle réintègre plus tard le CNDE et interprète différents rôles dans les œuvres de Jorge Alcolea. Depuis 2015 elle se chorégraphie un solo dans le collectif paralel0°.

Il est aussi lauréat de différents prix.  A 20 ans il rejoint le Centre Culturel de Sarao (Guayaquil) et fait partie de la troupe de CNDE. Aujourd’hui il travaille comme professeur, chorégraphe et interprète au cendre Corps et Espace de Guayaquil.

Il commence ses études de contrebassiste en 1999 à l’Université des Arts du Chili. 4 ans plus tard il intègre le Conservatoire Symphonique National d’Equateur. Il devient par la suite professeur de musique à l’Orchestre National Philarmonique d’Equateur et obtient plusieurs bourses de mérite, ce qui lui permet de voyager sur tout le continent Américain et Européen en tant que musicien.  

Serge Crampon est né en 1950 à Rochefort-sur-mer. Tout en étudiant à l’école des beaux-arts d’Angers, il découvre la danse contemporaine. Des deux disciplines, il choisit l’expression plastique, sans jamais s’éloigner de son intérêt majeur pour le corps en mouvement. Ainsi de 1974 à 1983, le corps et ses métamorphoses dans l’espace est le thème privilégié de ses peintures et dessins. En 1989, il entreprend un voyage d’une année en famille à bord d’un camion nommé “Sacré Blue Car” (Canada, État Unis, Mexique). Il repense alors sa démarche plastique en référence à l’itinérance. En 1996, il présente à Saint-Florent le vieil “Traîneur de grèves” une scénographie pour un fleuve qu’il connaît bien, la Loire. En parallèle, il entreprend un travail photographique sur les zones portuaires de Nantes et de Saint-Nazaire.
La suite photographique “Port couleurs” est l’objet de plusieurs expositions et d’une publication en 2004 chez Marines éditions. Il collabore avec le chorégraphe Hervé Maigret (Cie ngc25) pour lequel il réalise les décors de ses créations: “Les discrets”, “Les offices du corps”, puis passe de l’atelier à la scène avec la création de “Un champ d’honneurs”.
En 2006 il publie “Serge Crampon et la Loire” textes de Michel Humbert, l’ouvrage soutenu par Mission Val de Loire présente les différents épisodes de son histoire plastique avec le fleuve. Aujourd’hui il installe ses travaux sous la forme de vastes scénographies dans lesquelles le corps revient au centre de ses préoccupations. Ses installations mettent en scène des forces opposées telles le pérenne et l’éphémère, le vivant et le mort et donnent à voir une interprétation du rapport entre nature et culture. À l’énergie vitale du fleuve qui soutend ses premières installations succède la force du dialogue entre objets récupérés, recyclés, transfigurés et leur histoire. En témoigne “Un champ d’honneurs”,”Chemin de vignes”, “L’Homme qui penche”, “L’envol des illusions”, expositions et performances publiques et invite auteurs, danseurs, compositeurs et vidéastes à partager le projet artistique.
www.serge-crampon.info

Responsable assistant de la communication de l’évènement « Caminos y Sabores » (éditions 2014 à Buenos Aires et 2015 à Córdoba) organisé par les groupes multimédias argentins Clarín et La Nación. Responsable de la communication internationale du salon du machinisme agricole « Expoagro » (éditions 2016 et 2017) organisé par les groupes multimédias Clarín et La Nación. Collaborateur des revues : Réussir Aviculture, Réussir Bovins Viande, Réussir Grandes Cultures, Les Marchés Hebdo, et de l’agence Agra presse ; du magazine L’Essentiel des relations internationales ; du média Acteurs Publics et du supplément international du Moniteur du BTP, groupe Le Moniteur.

Après des études de cinéma en France à l’école Nationale Louis Lumière et un BTS Image en poche, Didier Maigret travaille dans l’industrie du cinéma et de la télévision comme assistant puis directeur de la photographie pendant plus de vingt-cinq ans aussi bien en France qu’au Canada. Toujours très impliqué dans la conception des films auxquels il participe, il fonde avec la réalisatrice Renée Blanchar la compagnie de production Ça Tourne Production au Nouveau-Brunswick (Canada).

Comme Directeur de la photographie, il privilégie les documentaires d’auteur et les grands reportages à travers le monde. Il travaille également sur des téléséries canadiennes et tient la caméra en tant que cadreur sur quelques longs-métrages.

il produit son premier documentaire On a tué l’enfant Jésus de Renée Blanchar en 2007 suivi d’un court-métrage La  dernière visite qu’il écrit et réalise. À son actif, un documentaire avec le sculpteur André Lapointe sur ses interventions in situ . De retour en France en 2012 il collabore avec la compagnie chorégraphique NGC 25 comme vidéaste pour le spectacle Tant qu’il y aura des mouches dans les bars. Il documente ensuite deux créations de cette compagnie : Journal de Carnaval tourné à Quito (Équateur) sur une adaptation de l’œuvre de Camille Saint-Saëns Le Carnaval des animaux et suit sur un an  la création Salam qui l’emméne en Palestine. Analyse du processus d’élaboration d’une œuvre et suivi d’une tournée de l’équipe en terre palestinienne sont mis en ligne sur un site internet dédié au projet. Il travaille actuellement à l’écriture d’un court-métrage sur l’univers carcéral et développe un documentaire à travers le monde sur les nouvelles formes d’habitat mobiles et modulables.

Il est à l’origine de la web-série documentaire de la création chorégraphique Salam de la Cie NGC25 et du documentaire qui en émane et qui retracent le processus de création de la pièce chorégraphique. 

http://www.youtube.com/watch?v=oi8A5L_0Pso&feature=channel

http://www.youtube.com/watch?v=eRN_1a2FXQQ&feature=youtube_gdata

 

Tamia est étudiante en danse au sein de l’Université des Arts à Guayaquil en Equateur. 

Luis est étudiant de cinéma au sein de l’Université des Arts à Guayaquil en Equateur. 

Fermer le menu